Sébastien Castro nous convie à une véritable tornade burlesque.

CALENDRIER DES REPRÉSENTATIONS

Durée du spectacle : 1h20 sans entracte. 

SEPTEMBRE - OCTOBRE 2023


RÉSERVATION

Mar 12.09.23




Mer 13.09.23



20H15

Jeu
14.09.23



20H15

Ven 15.09.23



20H15

Sam 16.09.23



20H15

Dim 17.09.23

15H00

20H15

Mar 19.09.23




Mer 20.09.23



20H15

Jeu
21.09.23



20H15

Ven 22.09.23



20H15

Sam 23.09.23

15H00

20H15

Dim 24.09.23

15H00


Mar 26.09.23



20H15

Mer 27.09.23



20H15

Jeu
28.09.23



19H00

Ven 29.09.23



20H15

Sam 30.09.23



20H15

Dim 01.10.23

15H00


Mar 03.10.23



20H15

Mer 04.10.23



20H15

Jeu
05.10.23



20H15

Ven 06.10.23



20H15

Sam 07.10.23



20H15

Dim 08.10.23

15H00


DISTRIBUTION 

​Catherine Decrolier

Marie-Sylvie Hubot

Juliette Manneback

Gauthier Bourgois

Denis Carpentier

David Leclercq

Mise en scène : Alexis Goslain
Décor : Francesco Deleo

Costumes : Sophie Malacord
Lumières : Laurent Comiant

POUR EN SAVOIR PLUS 

Une comédie savoureuse.

Qui ne s’est jamais trompé de destinataire en envoyant un texto ? Ce soir, c’est à Guillaume que ça arrive. Alors qu’il souhaite adresser « J’ai envie de toi » à sa nouvelle conquête, le message est envoyé par erreur à son ex, qui décide de s’inviter chez lui. Tout dérape lorsque le voisin débarque dans le salon, après avoir abattu la cloison qui sépare les deux appartements.

Ce voisin gaffeur, dans la lignée d’un François Pignon, ne se rend pas compte des catastrophes qu’il déclenche. Les quiproquos s’enchaînent et les protagonistes se multiplient dans un joyeux délire.


Le rythme effréné et les thèmes actuels, comme les rencontres amoureuses sur Internet, l’omniprésence des téléphones portables, le « papy-sitting », la sexualité décomplexée, les différences sociales et culturelles expliquent le succès de la pièce.

Sébastien Castro parle à toutes les générations et s’amuse de notre époque avec autant de brio qu’il joue avec les codes du théâtre de boulevard où le diable est dans les détails. Sébastien Castro y ajoute l’humanité, la tendresse et la loufoquerie.
 

Interview Alexis Goslain 

Une comédie savoureuse.

Quels sont les éléments qui ont éveillé votre intérêt à la lecture de ce texte ?

J’avoue avoir eu quelques aprioris quand on m’a proposé la pièce. Ce qui m’est apparu à sa première lecture, c’est l’aspect technique et la mécanique du récit. Dans ce vaudeville moderne où les portes claquent comme à l’ancienne, les contraintes durant les répétitions étaient nombreuses pour les acteurs et la technique ciselée pour faire ressortir tous les ressorts comiques de chaque situation. L’essentiel du travail s’est inscrit dans cette direction. Et finalement ce texte m’a séduit par tout cet aspect technique et cette inventivité. Une sorte de défi qui m’a poussé avec les acteurs à trouver de la précision et un rythme soutenu pour faire émerger le rire au bon endroit et au bon moment.

On est très proche de la ‘farce’ anglaise à la Ray Cooney ?

Effectivement. Les ficelles sont les mêmes et le canevas classique pour ce genre de répertoire. On peut aussi sentir l’influence des personnages de Francis Veber. Le rapport entre Youssouf et Guillaume est dans cette veine-là, une sorte de Pignon/Brochant dans un univers plus moderne et où le rythme et les caractères s’emballent au fur et à mesure.

Quand vous montez une pièce, qu’est-ce qui vous intéresse en premier lieu ?

La confiance avec l’équipe artistique et notre implication commune qui part dans la même direction, celle de monter sérieusement une histoire pas très sérieuse dans élan sincère et généreux. La force comique des acteurs que vous verrez ce soir est à mon sens l’élément primordial pour mettre en valeur la force et le talent du texte. C’est voir ce petit monde évoluer au fil des répétitions qui m’intéresse le plus dans ce style de travail. De les voir grandir dans l’invention et la détermination en donnant le meilleur.